La Cour d’appel rejette la demande d’un nouveau procès pour les Cinq
JUSTE un an après la décision d’un panel de trois juges de la Cour du onzième circuit d’Atlanta, en Géorgie, qui, unanimement, avait annulé le procès qui s’était déroulé à Miami, contre les cinq combattants antiterroristes cubains et révoqué les condamnations émises, l’ensemble de cette instance judiciaire vient d’émettre sa décision concernant la reconsidération du jugement du 9 août 2005.
Dans ses 120 pages, le document de la Cour en consacre la moitié aux arguments des dix juges qui ont agi contre la Défense et le reste pour les deux magistrats – les deux du panel du 9 août –, qui ont réaffirmé leurs points de vue.
Il faudra maintenant analyser en détail le dossier, mais ce qui se dégage à priori est que l’ensemble des juges ont ratifié la décision du tribunal de Miami où ont été condamnés nos compatriotes et qu’ils ont repoussé la demande d’un nouveau procès, décidant de renvoyer au panel des trois juges le reste des questions non débattues par eux. De cette manière, il revient aux trois juges d’analyser des thèmes comme les accusations de conspiration pour assassinat, pour espionnage, et la mauvaise application de la Loi de la Procédure de l’Information Classifiée (le signe CIPA en anglais), parmi d’autres.
Ce verdict va sûrement retarder le processus, et l’emprisonnement des cinq hommes, qui le 12 septembre prochain vont atteindre leur huitième année de détention, va continuer de s’étendre dans l’incertitude.
Des hommes qui ont essayé de sauver Cuba et les Etats-Unis du terrorisme promu par des individus comme Luis Posada Carriles, assassin confessé et terroriste en activité, pour lequel on prépare un show le 14 août prochain dans une tentative de lui concéder la nationalité étasunienne en vertu des actions criminelles qu’il a exercées sous les ordres de George Bush père.
La nouvelle a été connue peu après la Table Ronde d’information d’hier soir. On attendait la nouvelle décision depuis le 14 février où avait eu lieu l’audience orale devant l’ensemble des 12 juges, qui avaient écouté les arguments oraux des parties adverses. Six mois sont passés depuis et une année depuis le verdict précédent.
Ceci est un fait sans précédents dans l’histoire judicaire de ce pays.
En acceptant la reconsidération de cette sentence, émise alors dans l’intérêt de la justice, on avait reconnu l’attitude erronée du ministère public, ce qui venait confirmer ce que nous ne cessions de répéter : il s’agit d’une affaire politique depuis le début et en jugeant les Cinq on a déversé sur ces combattants la haine et la vengeance contre la nation cubaine.
Mais tout se passe de manière étrange et à un moment où Miami appelle à en finir avec une nation souveraine, où on appelle au terrorisme sans vergogne, où on exhorte à créer des bains de sang, incitant à tue-tête dans les médias à l’assassinat et au génocide.
Dans ses 120 pages, le document de la Cour en consacre la moitié aux arguments des dix juges qui ont agi contre la Défense et le reste pour les deux magistrats – les deux du panel du 9 août –, qui ont réaffirmé leurs points de vue.
Il faudra maintenant analyser en détail le dossier, mais ce qui se dégage à priori est que l’ensemble des juges ont ratifié la décision du tribunal de Miami où ont été condamnés nos compatriotes et qu’ils ont repoussé la demande d’un nouveau procès, décidant de renvoyer au panel des trois juges le reste des questions non débattues par eux. De cette manière, il revient aux trois juges d’analyser des thèmes comme les accusations de conspiration pour assassinat, pour espionnage, et la mauvaise application de la Loi de la Procédure de l’Information Classifiée (le signe CIPA en anglais), parmi d’autres.
Ce verdict va sûrement retarder le processus, et l’emprisonnement des cinq hommes, qui le 12 septembre prochain vont atteindre leur huitième année de détention, va continuer de s’étendre dans l’incertitude.
Des hommes qui ont essayé de sauver Cuba et les Etats-Unis du terrorisme promu par des individus comme Luis Posada Carriles, assassin confessé et terroriste en activité, pour lequel on prépare un show le 14 août prochain dans une tentative de lui concéder la nationalité étasunienne en vertu des actions criminelles qu’il a exercées sous les ordres de George Bush père.
La nouvelle a été connue peu après la Table Ronde d’information d’hier soir. On attendait la nouvelle décision depuis le 14 février où avait eu lieu l’audience orale devant l’ensemble des 12 juges, qui avaient écouté les arguments oraux des parties adverses. Six mois sont passés depuis et une année depuis le verdict précédent.
Ceci est un fait sans précédents dans l’histoire judicaire de ce pays.
En acceptant la reconsidération de cette sentence, émise alors dans l’intérêt de la justice, on avait reconnu l’attitude erronée du ministère public, ce qui venait confirmer ce que nous ne cessions de répéter : il s’agit d’une affaire politique depuis le début et en jugeant les Cinq on a déversé sur ces combattants la haine et la vengeance contre la nation cubaine.
Mais tout se passe de manière étrange et à un moment où Miami appelle à en finir avec une nation souveraine, où on appelle au terrorisme sans vergogne, où on exhorte à créer des bains de sang, incitant à tue-tête dans les médias à l’assassinat et au génocide.
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