Docteurs cubains, les Docteurs de l'âme.

Thursday, August 31, 2006

Washington intensifie ses activités d’espionnage

La nomination du vieil agent de la CIA Jack Patrick Maher comme «chef de mission» des services US de renseignement pour Cuba et le Venezuela, par le directeur des services d’espionnage des Etats-Unis, John Negroponte, et les déclarations provenant de Washington en relation avec cette décision, démontrent l’intensité des activités de la CIA contre le territoire cubain et impliquent une prochaine ampliation des activités destinées à pénétrer la société cubaine à partir de la Section des intérêts nord-américains de La Havane.
Le communiqué du bureau de Negroponte, connu sous le sigle anglais de ODNI —Bureau du directeur national du renseignement — précise que la création du nouveau poste a pour but d’«intégrer la collecte et l’analyse» de données parmi les 16 agences nord-américaines de renseignement et d’«identifier et remplir les lacunes de renseignement» dans les deux pays désignés.
Carl Kropf, porte-parole de l’ODNI, a commenté à l’agence United Press International que la création du poste n’était pas liée à la récente hospitalisation du président cubain mais qu’elle était «une réponse à des préoccupations à plus long terme» à propos de la nécessité de «conserver une vision stratégique» de Cuba et du Venezuela.
La décision se situe cependant en marge de la publication, le 10 juillet dernier, de la dernière version du Plan Bush d’annexion de Cuba et de son «annexe secrète» avec l’attribution de dizaines de millions de dollars pour sa réalisation.
Le communiqué de l’ODNI signale que Maher est entré à la CIA en 1974 et qu’il a travaillé comme «spécialiste de l’Amérique latine sur des sujets qui comprennent la Colombie». Il appartient au Bureau du directeur national du renseignement depuis août 2005.
Il a été auparavant directeur adjoint du Bureau d’appui stratégique du Directorat du renseignement de la CIA de 2003 à 2005. Dans le passé, il a appartenu successivement aux Groupes de travail de la Colombie, du Mexique et du Bassin de la Caraïbe.
Il a été recruté par la CIA en 1974 après avoir travaillé en Colombie durant deux ans avec les fameux Peace Corps, berceau de tant d’agents de l’Agence nord-américaine.
Si les activités intenses des services de renseignement nord-américains a été amplement documentée avec l’échec du coup d’Etat d’avril 2002 et la récente arrestation de quatre agents, décrite par le président Chavez, à Cuba l’activité de la CIA est particulièrement démontrée avec le recrutement d’informateurs et d’agents par la SINA, sous une variété de prétextes généralement liés aux «droits de l‘homme».
Washington utilise aussi fréquemment des diplomates et des représentants de pseudo-ONG étrangères, telles que Reporters sans frontières dont le financement par l’International Republican Institute vient d’être démontrée.
Au Honduras, où il a été ambassadeur des Etats-Unis, l’actuel chef du renseignement de Bush, John Dimitri Negroponte, a laissé le souvenir d’avoir été le parrain de la plus sanguinaire campagne de répression jamais déchaînée dans ce pays. Le 22 avril 1981 à Tegucigalpa, la capitale, 32 Salvadoriennes et leurs enfants qui avaient fui leur pays après l’assassinat de l’archevêque Romero, ont été sauvagement torturés par l’armée salvadorienne puis lancées d’hélicoptères en vol. Les enfants ont été donnés à des militaires et on a perdu leur trace.

Wednesday, August 30, 2006

Un nouveau groupe d’étudiants étasuniens à l’École latino-américaine de médecine

La Havane, 29.08.06 « Nous venons avec des jeunes n’ayant pas pu accomplir leurs rêves aux États-Unis », a dit le révérend Lucius Walker qui a accompagné un nouveau groupe d’étudiants étasuniens jusqu’à l’École latino-américaine de médecine (ELAM) où ils commenceront bientôt leurs études.

« Ils ont été victimes des ‘valeurs de notre pays’ qui font de la Médecine une marchandise et ont connu un système de santé publique qui ne tient pas compte des majorités, mais ils ont continué à rêver et continueront à le faire grâce à Cuba », a dit Walker, en ajoutant que c’est le projet qui leur donne le plus de joie parmi ceux qui sont menés à travers les Pasteurs pour la paix.

Le groupe est composé par sept jeunes filles et six garçons, reçus à l’ELAM par le Dr. D. Carrizo Estévez, recteur du centre, où, après l’arrivée du nouveau groupe, 88 jeunes étasuniens poursuivent ou commencent leurs études.

Friday, August 25, 2006

• Cuba dispose aujourd’hui de 71 000 médecins

PAR MARIANELA MARTIN GONZALEZ

SI l’on ne met pas en place un système pour former des médecins de façon massive comme l’a fait Cuba, l’avenir des peuples est incertain, car entre les épidémies et la marginalisation sociale, la santé des pauvres de la planète est constamment menacée. Ainsi s’est exprimé Ramon Balaguer, ministre de la Santé publique, lors de la cérémonie de remise des diplômes aux étudiants en sciences médicales, qui s’est déroulée hier après-midi, à l’Institut des Sciences de base et pré cliniques Victoria de Giron. Cuba dispose depuis hier de 2 314 nouveaux professionnels de la santé, et 1 593 jeunes de 26 pays ont aussi reçu leurs diplômes. A ce même endroit, inauguré par Fidel il y a 44 ans, a débuté la formation massive de médecins après l’exil de beaucoup d’entre eux suite aux campagnes contre la Révolution, a-t-il appelé. Cuba dispose aujourd’hui de 71 000 médecins, a-t-il souligné. « Grâce à votre responsabilité et à votre sensibilité humaine nous avons obtenu une armée gigantesque qui prodigue la solidarité à l’intérieur et ç l »extérieur de l’île, élevant ainsi non seulement la qualité de vie de ses patients, mais aussi d’autres valeurs qui sont aussi des promoteurs de santé ». Notre pays accorde une assistance médicale à 68 nations, et a offert son aide à une centaine de pays, a indiqué Balaguer, qui a rappelé l’intérêt de former 11 facultés similaires à la ELAM dans plusieurs pays du tiers monde, surtout en Afrique. Le médecin brésilien Alexander Sales, le diplômé le plus intégral de la ELAM, a assuré que les principes forgés durant les six ans d’études seront appliqués dans leurs pays d’origine et partout où c’est nécessaire. Julio Arma, diplômé intégral, dans sa lecture du serment des diplômés, a insisté pour maintenir l’éthique de la profession dans n’importe quelle partie du monde et pour servir les personnes les plus démunies de la planète. A la cérémonie, dédiée au 80e anniversaire du Commandant en Chef Fidel Castro et au 50e anniversaire du débarquement du Granma, étaient présents les membres du Bureau politique José Ramon Machado Ventura, Pedro Ross Leal et Concepcion Campa.

Wednesday, August 23, 2006

1 593 jeunes de 26 pays reçoivent leurs diplômes

• Cuba offre son assistance à 68 nations
• Cuba dispose aujourd’hui de 71 000 médecins

PAR MARIANELA MARTIN GONZALEZ

SI l’on ne met pas en place un système pour former des médecins de façon massive comme l’a fait Cuba, l’avenir des peuples est incertain, car entre les épidémies et la marginalisation sociale, la santé des pauvres de la planète est constamment menacée.
Ainsi s’est exprimé Ramon Balaguer, ministre de la Santé publique, lors de la cérémonie de remise des diplômes aux étudiants en sciences médicales, qui s’est déroulée hier après-midi, à l’Institut des Sciences de base et pré cliniques Victoria de Giron.
Cuba dispose depuis hier de 2 314 nouveaux professionnels de la santé, et 1 593 jeunes de 26 pays ont aussi reçu leurs diplômes.
A ce même endroit, inauguré par Fidel il y a 44 ans, a débuté la formation massive de médecins après l’exil de beaucoup d’entre eux suite aux campagnes contre la Révolution, a-t-il appelé.
Cuba dispose aujourd’hui de 71 000 médecins, a-t-il souligné. « Grâce à votre responsabilité et à votre sensibilité humaine nous avons obtenu une armée gigantesque qui prodigue la solidarité à l’intérieur et ç l »extérieur de l’île, élevant ainsi non seulement la qualité de vie de ses patients, mais aussi d’autres valeurs qui sont aussi des promoteurs de santé ».
Notre pays accorde une assistance médicale à 68 nations, et a offert son aide à une centaine de pays, a indiqué Balaguer, qui a rappelé l’intérêt de former 11 facultés similaires à la ELAM dans plusieurs pays du tiers monde, surtout en Afrique.
Le médecin brésilien Alexander Sales, le diplômé le plus intégral de la ELAM, a assuré que les principes forgés durant les six ans d’études seront appliqués dans leurs pays d’origine et partout où c’est nécessaire.
Julio Arma, diplômé intégral, dans sa lecture du serment des diplômés, a insisté pour maintenir l’éthique de la profession dans n’importe quelle partie du monde et pour servir les personnes les plus démunies de la planète.
A la cérémonie, dédiée au 80e anniversaire du Commandant en Chef Fidel Castro et au 50e anniversaire du débarquement du Granma, étaient présents les membres du Bureau politique José Ramon Machado Ventura, Pedro Ross Leal et Concepcion Campa.

Wednesday, August 16, 2006

Médecine à Cuba


Cuba possède sur un système d'attention à la santé a considéré seulement en Amérique latine, l'envergure totale du pays. Les services médicaux sont libres pour tous les Cubains.
Il expose le taux le plus bas de mortalité infantile en Amérique latine et un du plus bas du monde : 6,5 pour chaque mille né vif. L'espérance de vie des Cubains sur avoir soit né est 75,2 ans.
Cuba est un de six pays du monde qu'ils produisent interferon (INF). Aussi il produit le facteur de croissance épidermique, guérissant la crème très efficace contre les brûlures; le vaccin contre l'hépatite B; le vaccin antimeningocique tape B (seulement dans le monde) et l'estreptoquinasa recombinante, une médecine d'action contre la crise cardiaque du myocardium. Aussi les médicaments sont élaborés contre le tromboembolismos, les chutes dans le système immunologique, l'hypertension, le cholestérol et quelques formes de cancer.

Tuesday, August 15, 2006

La Cour d’appel rejette la demande d’un nouveau procès pour les Cinq

JUSTE un an après la décision d’un panel de trois juges de la Cour du onzième circuit d’Atlanta, en Géorgie, qui, unanimement, avait annulé le procès qui s’était déroulé à Miami, contre les cinq combattants antiterroristes cubains et révoqué les condamnations émises, l’ensemble de cette instance judiciaire vient d’émettre sa décision concernant la reconsidération du jugement du 9 août 2005.
Dans ses 120 pages, le document de la Cour en consacre la moitié aux arguments des dix juges qui ont agi contre la Défense et le reste pour les deux magistrats – les deux du panel du 9 août –, qui ont réaffirmé leurs points de vue.
Il faudra maintenant analyser en détail le dossier, mais ce qui se dégage à priori est que l’ensemble des juges ont ratifié la décision du tribunal de Miami où ont été condamnés nos compatriotes et qu’ils ont repoussé la demande d’un nouveau procès, décidant de renvoyer au panel des trois juges le reste des questions non débattues par eux. De cette manière, il revient aux trois juges d’analyser des thèmes comme les accusations de conspiration pour assassinat, pour espionnage, et la mauvaise application de la Loi de la Procédure de l’Information Classifiée (le signe CIPA en anglais), parmi d’autres.
Ce verdict va sûrement retarder le processus, et l’emprisonnement des cinq hommes, qui le 12 septembre prochain vont atteindre leur huitième année de détention, va continuer de s’étendre dans l’incertitude.
Des hommes qui ont essayé de sauver Cuba et les Etats-Unis du terrorisme promu par des individus comme Luis Posada Carriles, assassin confessé et terroriste en activité, pour lequel on prépare un show le 14 août prochain dans une tentative de lui concéder la nationalité étasunienne en vertu des actions criminelles qu’il a exercées sous les ordres de George Bush père.
La nouvelle a été connue peu après la Table Ronde d’information d’hier soir. On attendait la nouvelle décision depuis le 14 février où avait eu lieu l’audience orale devant l’ensemble des 12 juges, qui avaient écouté les arguments oraux des parties adverses. Six mois sont passés depuis et une année depuis le verdict précédent.
Ceci est un fait sans précédents dans l’histoire judicaire de ce pays.
En acceptant la reconsidération de cette sentence, émise alors dans l’intérêt de la justice, on avait reconnu l’attitude erronée du ministère public, ce qui venait confirmer ce que nous ne cessions de répéter : il s’agit d’une affaire politique depuis le début et en jugeant les Cinq on a déversé sur ces combattants la haine et la vengeance contre la nation cubaine.
Mais tout se passe de manière étrange et à un moment où Miami appelle à en finir avec une nation souveraine, où on appelle au terrorisme sans vergogne, où on exhorte à créer des bains de sang, incitant à tue-tête dans les médias à l’assassinat et au génocide.

Friday, August 11, 2006

760 000 titulaires de diplômes d’enseignement supérieur

CUBA est devenue une grande université: au prix d’efforts considérables consentis par le gouvernement pour assurer le fonctionnement des institutions éducatives dans les années les plus dures de la «période spéciale», le pays compte aujourd’hui 760 000 titulaires de diplômes d’enseignement supérieur.
Cette quantité de professionnels formés et bien formés ne représente pas seulement une force de travail qualifiée mais aussi la réalisation du projet social et humain de la Révolution cubaine, et l’enterrement du modèle éducationnel basé sur l’exclusion qui a prévalu jusqu’au 1er Janvier 1959, qui maintenait un taux élevé d’analphabétisme et faisait de l’accès aux universités l’apanage des couches sociales privilégiées.
Pour l’année scolaire qui vient de s’achever, le nombre d’étudiants inscrits dans les facultés et les 3 150 filiales universitaires municipales était de 510 000, encadrés par plus de 110 000 professeurs.
La nouvelle conception de l’éducation qui étend l’éducation à toutes les communautés a permis à des jeunes qui n’étaient ni travailleurs ni étudiants de suivre des formations accélérées. A ceci s’ajoute la participation de tous les étudiants et enseignants à des tâches ayant un impact social: la révolution énergétique, la collaboration à l’Opération Miracle, le programme de formation de médecins latino-américains, la formation de travailleurs sociaux vénézueliens, l’informatisation des universités et la préparation des étudiants à l’enseignement universitaire.
Du point de vue scientifique et technique, les universités cubaines ont amélioré le niveau des recherches en dépit de la détérioration, pendant plusieurs années, des laboratoires de physique, chimie, biologie, pharmacie, souvent privés de pièces de rechange pour un matériel provenant majoritairement de pays de l’ancien camp socialiste. Les institutions éducatives et centres de recherches du MES ont obtenu 32 prix de l’Académie des sciences de Cuba, essentiellement dans les domaines du développement énergétique et biotechnologique.
Dans le domaine de l’informatisation, toutes les municipalités du pays sont maintenant reliées au réseau central universitaire, ce qui garantit l’accès de tous les étudiants aux bases de données et bibliographies actualisées. Plus de deux mille ordinateurs ont été installés.
L’Université des sciences informatiques se situe à l’avant-garde mondiale de la formation et de la création de software qui rapporte au pays des revenus en devises. L’Institut supérieur polytechnique José Antonio Echevarria et l’Université de La Havane sont aussi tenus pour des centres d’excellence du système éducatif national.
Pour la rentrée de septembre prochain, il est prévu d’améliorer la dotation en matériel bibliographique et en matériel d’appui, le mobilier des salles de classe et laboratoires ainsi que les conditions d’hébergement dans les résidences universitaires.
Les chaires du troisième âge continuent de fonctionner, et plus de 16 000 personnes âgées ont reçu le diplôme correspondant à leurs études.
Quelque 600 000 professionnels de toutes les branches ont suivi des formations complémentaires. Cuba compte 8 283 docteurs ès sciences, un chiffre relativement bas, comparé à celui des universitaires diplômés et au potentiel offert par les institutions d’enseignement supérieur.
Des recherches sont menées en étroite collaboration avec des universités prestigieuses de pays développés.
Tout ceci garantit la spécialisation élevée de l’enseignement universitaire à Cuba, dont bénéficie l’ensemble de la société. (Navil Garcia

Thursday, August 10, 2006

Respecter la souverainete de Cuba

Suite au communiqué de Fidel Castro concernant son état de santé et la délégation provisoire de ses pouvoirs, plusieurs hauts fonctionnaires des Etats-Unis se sont prononcés de manière de plus en plus explicite sur l’avenir immédiat de Cuba. Le Secrétaire d’Etat au Commerce, Carlos Gutierrez, a déclaré que « l’heure d’une véritable transition vers une vraie démocratie avait sonné » et le porte-parole de la Maison blanche, Tony Snow, a affirmé que son gouvernement était « prêt et désireux d’apporter une assistance humanitaire, économique et de n’importe quel ordre au peuple de Cuba », ce qui vient d’être confirmé par le président Bush. Déjà la « Commission pour un Cuba libre », présidée par la secrétaire d’Etat Condolezza Rice, avait souligné dans un rapport en juin « l’urgence d’agir aujourd’hui pour que la stratégie de succession du régime Castro ne puisse réussir » et le président Bush avait déclaré que ce document « prouve que nous agissons activement en faveur d’un changement à Cuba et que nous ne nous contentons pas d’attendre que cela arrive ». Le Département d’Etat des Etats-Unis d’Amérique a annoncé que le plan comprenait un chapitre prévoyant des mesures qui resteraient secrètes « pour des raisons de sécurité nationale » et pour garantir « l’efficacité de leur application ». Il n’est guère difficile d’imaginer le caractère de telles mesures et de « l’assistance » annoncée, si l’on se réfère à la militarisation de la politique extérieure de l’actuel gouvernement des Etats-Unis et à son intervention en Irak. Face à cette menace croissante contre l’intégrité d’une nation et contre la paix et la sécurité en Amérique latine et sur l’ensemble de la planète, nous exigeons que le Gouvernement des Etats-Unis s’engage à respecter la souveraineté de Cuba. Nous devons à tout prix empêcher une nouvelle agression.

Wednesday, August 09, 2006

Dès 1961, Cuba a entrepris une modification profonde des structures. Les services de santé ont été nationalisés, et placés sous l’autorité du ministère de la Santé publique (MINSAP).La population cubaine a gratuitement accès aux services médicaux, dont le réseau couvre tout le territoire national.Chaque année, l’Etat consacre environ 5% du PIB à la santé publique.Dans le système de santé cubain, la médecine préventive a une priorité certaine. Les soins de santé primaires sont apportés par le médecin de la famille, le pays en compte plus de 29 900. Les indicateurs de base de santé maternelle et infantile sont supérieurs à ceux des autres pays dits « en voix de développement », et comparables à ceux des pays hautement développés.Les principales causes d’hospitalisation sont les complications de la grossesse, les maladies respiratoires (la pneumonie, la bronchite asthmatiforme,...). La médecine cubaine moderne a développé des techniques modernes de transplantations de reins, cœur, poumon, moelle osseuse, foie, pancréas, cornée et de transplantations nerveuses.Malgré la réduction des importations et l’embargo que les Etats Unis imposent, Cuba a réussi à maintenir les soins de santé primaires et hospitaliers, bien que la disponibilité en médicaments et matériel médical de base ait diminué. Les études des médecins sont organisées en 3 cycles de deux années ; à l’issue du 1er cycle est délivré le diplôme de « travailleur sanitaire », à l’issue du 2ème cycle le diplôme « d’infirmier », et celui de « médecin » après le 3eme cycle. Ce médecin diplômé commence obligatoirement sa carrière à la campagne (2 ans), et ce n’est qu’après ce travail en zone rurale qu’il peut entreprendre des études de spécialisation. Par ailleurs, tous les médecins bénéficient d’une formation permanente. En 1998, le secteur de la santé comptait 63 483 médecins (un pour 175 habitants), et 9873 stomatologues (un pour 1126 habitants). Des médecins cubains travaillent aujourd’hui dans divers pays d’Afrique et d’Amérique latine.

le combat contre le SIDA

Après 25 ans de combat contre l'épidémie et des avances évidentes, cela est très loin toujours le jour dans lequel nous mettons la fin à tant de souffrance. Sont là tenu beaucoup de problèmes qui y empêchent le succès rond de tous les buts, les programmes et les investissements renversés. Alors il est nécessaire de demander quel si prêt nous devons à l'accomplissement des promesses que nous avons fait à la communauté du monde ?Quand les tendances du monde dans la transmission du SIDA continuent dans l'augmentation, Cuba expose un taux de prevalencia entre sexuellement la population active du plus bas du monde. Selon les informations du Centre national de la Prévention d'ITS'S ÉTÉ VIH, depuis le début de son le programme en 1986, le pays accumule près de 6700 séropositifs le VIH. D'eux, 2700 a développé la maladie et 1300 déjà ils ont expiré .Cuba, incorporé carrément dans cette bataille par la vie, a conçu un programme qui implique aux médias différents de communication sociale. Ils sont rejoints à tout selon la volonté pour sensibiliser la population avec fiable et purifient des informations sur cet universel, aussi bien que de soutenir la croissance d'une culture d'appréciation, comprenant et j'approuve les personnes vivant avec VIH.


 
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